Une nouvelle morale

Pendant quelques décennies, l’Europe a traité la morale comme un souvenir du passé. On a voulu vivre dans une société qui ignorerait le bien et le mal. Cela se traduisait entre autre par le slogan « il est interdit d’interdire », hérité de Mai 68. En particulier, on refusait que le corps social pèse sur la conduite de l’individu par un regard sur les bons ou mauvais comportements. Les questions morales devenaient alors des affaires purement subjectives et individuelles.

Les chrétiens, comme les autres religieux, sont hypocrites

La côte de popularité des religions est en baisse. On fait même souvent l’amalgame entre religion et hypocrisie. Voilà comment Wikipédia définit la religion : “système de pratiques et de croyances pour un groupe ou une communauté”. Or, dans un monde ou la liberté de l’individu prime sur le groupe, on “tape sur les systèmes” en général, sur les replis communautaires, les idéologies, et les religions.

Le problème des chrétiens, c’est qu’ils sont enfermés dans la culpabilité

Certaines personnes rejettent, d’un revers de main, l’ensemble de la foi chrétienne, et accusent la morale judéo-chrétienne de maintenir les gens sous une lourde chape de culpabilité. Au risque de vous étonner, je pense que cette accusation est en partie justifiée.

Finale : le remplaçant marque à la dernière minute

La situation semblait désespérée, on avait rarement vu des joueurs aussi mauvais. Le capitaine de l’équipe, Hugo Adam, avait dès l’entrée de jeu déserté sa position de défenseur, laissant l’ennemi marquer un but. La situation dégénéra encore lorsque l’attaquant Roger Caïn mis un violent « coup de boule » à l’ailier Nicolas Abel.