Chat GPT : notre nouveau Dieu ?
Les Groupes Bibliques Universitaires et Lycéens vous propose une réflexion sur le thème de l’intelligence artificielle avec une perspective biblique.
Les Groupes Bibliques Universitaires et Lycéens vous propose une réflexion sur le thème de l’intelligence artificielle avec une perspective biblique.
Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?
Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?
Pouvons-nous admettre que si nous avons un Créateur, il doit être, par principe, bien différent de ses créatures ? En tout cas, le Dieu dont nous parle la Bible ne voit décidément pas les choses comme nous. Comment Dieu voit-il tous les hommes ?
Au XVIIIe siècle, un défi hante tout astrophysicien et scientifique de l’époque. Ce défi c’est un problème mathématique, c’est celui de la stabilité du système solaire. Est-ce que les trajectoires des planètes autour du soleil resteront toujours identiques ou est-ce que d’inévitables collisions sont à prévoir ? Ne risque-t-on pas de voir, un jour, une planète éjectée du système solaire ?
Dieu n’existe pas, une hypothèse incohérente Contrairement à ce que les athées pourraient penser, il est plus logique de croire que Dieu existe que de …
Pendant quelques décennies, l’Europe a traité la morale comme un souvenir du passé. On a voulu vivre dans une société qui ignorerait le bien et le mal. Cela se traduisait entre autre par le slogan « il est interdit d’interdire », hérité de Mai 68. En particulier, on refusait que le corps social pèse sur la conduite de l’individu par un regard sur les bons ou mauvais comportements. Les questions morales devenaient alors des affaires purement subjectives et individuelles.
“Je n’aime pas la Bible, car dès ses premières lignes, elle encourage l’exploitation de la nature”. Une telle idée est, aujourd’hui, assez largement répandue.
La côte de popularité des religions est en baisse. On fait même souvent l’amalgame entre religion et hypocrisie. Voilà comment Wikipédia définit la religion : “système de pratiques et de croyances pour un groupe ou une communauté”. Or, dans un monde ou la liberté de l’individu prime sur le groupe, on “tape sur les systèmes” en général, sur les replis communautaires, les idéologies, et les religions.
Je trouve cette phrase absolument fascinante ! Si je la comprends bien elle veut dire : « Je crois en Dieu mais je ne vais pas à l’Église et, quand j’ai peur ou que j’ai un coup de blues, je prie pour me rassurer. »