Justice et pardon #3
Justice collective La question des violences sexuelles est mise régulièrement sur le devant de la scène par les journalistes qui recueillent le témoignage de victimes …
Justice collective La question des violences sexuelles est mise régulièrement sur le devant de la scène par les journalistes qui recueillent le témoignage de victimes …
Sexe, pouvoir, argent, ce trio infernal en a fait voir de toutes les couleurs à l’humanité. Même s’il revient à Marx d’avoir fait de ce …
Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?
Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?
Pour beaucoup d’américains expatriés en France, le mode de vie français suscite parfois de l’incompréhension et de la frustration. Les repas dominicaux qui durent toute l’après-midi (“Il est déjà 17h, j’aurai jamais faim pour le dîner… et on est pas encore au dessert !”) ; les horaires d’ouvertures à géométrie variable (“mais Google a dit que c’est ouvert !”) ; les congés d’été des commerçants et des restaurateurs (“mais ça n’a pas de sens, c’est là où ils pourraient faire le plus de chiffre !”) ; les pauses déjeuners de plus de 1 heure (“chez nous c’est 15 minutes devant ton ordi”)… Bref, en France, on aime profiter de la vie.
Cela fait quelque temps que j’observe avec fascination — et une certaine inquiétude — la polarisation de la société américaine. Il semble que dans quasiment tout les domaines, deux camps s’affrontent : gauche et droite, pro-vie et pro-choix, anti-vax et pro-vax… Ce phénomène s’exacerbe avec les réseaux sociaux, véhicule privilégié des fake news et autres désinformations.
Depuis quelques années se multiplient des histoires de reconversion professionnelle qui vendent du rêve : le juriste qui plaque tout pour devenir éleveur de chèvre en Corrèze, le jeune ingénieur qui ouvre sa fabrique de Kombucha… Souvent des histoires de professionnels lassés de leur travail où ils ne retrouvent pas leurs valeurs et qui décident de vivre de leur passion ou de leur rêve.
L’hiver vient, et avec lui, non pas les marcheurs blancs mais les blackouts. La production d’électricité s’annonce compliquée, les causes sont complexes mais la conjoncture entre la maintenance de plusieurs centrales nucléaires reportée depuis le covid et la pénurie de gaz avec la guerre en Ukraine nous pousse à envisager d’éventuelles coupures d’électricité cet hiver. La solution ? La sobriété en col roulé !
Certains disent que la Bible ne fait aucun cas du bien-être animal. Aux temps bibliques, il est vrai, on ne trouvait pas d’élevages intensifs, d’hormones ou d’antibiotiques… pas plus que d’abattoirs dans lesquels des animaux étaient mis à mort à la chaîne de façon horrible. Cependant, la Bible accorde déjà à la “création” une valeur toute particulière, et elle rend l’homme responsable d’en prendre soin : il en est l’intendant.
Pendant quelques décennies, l’Europe a traité la morale comme un souvenir du passé. On a voulu vivre dans une société qui ignorerait le bien et le mal. Cela se traduisait entre autre par le slogan « il est interdit d’interdire », hérité de Mai 68. En particulier, on refusait que le corps social pèse sur la conduite de l’individu par un regard sur les bons ou mauvais comportements. Les questions morales devenaient alors des affaires purement subjectives et individuelles.