Historique ?
En ce début de XXIè siècle, nous avons une chance formidable comparés à tous ceux qui nous ont précédés : nous pouvons avoir accès à …
En ce début de XXIè siècle, nous avons une chance formidable comparés à tous ceux qui nous ont précédés : nous pouvons avoir accès à …
Sexe, pouvoir, argent, ce trio infernal en a fait voir de toutes les couleurs à l’humanité. Même s’il revient à Marx d’avoir fait de ce …
Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?
Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?
Pouvons-nous admettre que si nous avons un Créateur, il doit être, par principe, bien différent de ses créatures ? En tout cas, le Dieu dont nous parle la Bible ne voit décidément pas les choses comme nous. Comment Dieu voit-il tous les hommes ?
Pourquoi certains livres font-ils partie de la Bible, et d’autres pas ? D’ailleurs, qui l’a décidé ? Quand ? Selon quels critères ?
Il s’agit ici d’une question qui a déstabilisé pas mal de jeunes chrétiens qui ont fait des recherches sur l’historique des décisions prises pour former la liste des livres qui font partie de la Bible, et ceux qui ne le font pas.
Précédemment, j’ai écrit sur la Règle d’or, cette fameuse loi morale universelle commune à de nombreuses religions et philosophies. Elle nous invite à ne pas faire à l’autre ce que l’on ne veut pas qu’on nous fasse, ce qui est, en somme, une garantie de liberté pour soi, et le fondement de notre idée moderne de tolérance. La règle d’or est également une éthique de réciprocité. Mais Jésus est allé plus loin que la réciprocité en nous montrant le chemin d’un amour pro-actif.
Dans notre société, on admire, on adore et on adule ceux qui réussissent dans la vie. On rend un culte à la compétence et à la performance. Et cette logique de compétition s’impose partout, du bureau à la chambre à coucher, de nos relations professionnelles à nos relations amoureuses. Et pourtant…
Avez-vous déjà pensé qu’il puisse exister une morale universelle, qui s’applique à tous les hommes, en tout lieu, quelle que soit leur culture ? Peut-on résumer l’essentiel de la morale en une phrase ? Une telle phrase existe-t-elle ? Il semblerait, oui ! Cette phrase, on l’appelle la règle d’or.
“Je n’aime pas la Bible, car dès ses premières lignes, elle encourage l’exploitation de la nature”. Une telle idée est, aujourd’hui, assez largement répandue.