Ni bigots, ni dépravés
On n’a jamais autant parlé du dernier repas de Jésus. Merci la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques ! Malheureusement, on s’intéresse moins à l’événement relaté …
On n’a jamais autant parlé du dernier repas de Jésus. Merci la cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques ! Malheureusement, on s’intéresse moins à l’événement relaté …
Justice collective La question des violences sexuelles est mise régulièrement sur le devant de la scène par les journalistes qui recueillent le témoignage de victimes …
En ce début de XXIè siècle, nous avons une chance formidable comparés à tous ceux qui nous ont précédés : nous pouvons avoir accès à …
Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?
Que faire de quelqu’un qui a commis une faute ? La question ressort très régulièrement quand un homme politique ou bien une vedette est accusé d’un méfait plus ou moins choquant. Doit-on supporter sans rien dire la présence d’un réalisateur, un présentateur vedette accusé de viol ? Doit-on réintégrer un homme politique, qui a eu des comportements au minimum déplacés envers les femmes ?
« Si Dieu existe pourquoi le mal ? » C’est l’objection préférée des sceptiques. Mais voilà que dans le monde, au cœur d’un déluge de souffrances, nous voyons des peuples qui font souvent référence à… Jésus !
En matière de communication, les différences sémantiques sont assez surprenantes : quand on fait la promotion d’un produit on appelle ça “publicité” ; quand on veut faire passer ses idées politiques on appelle ça “campagne” ; quand on veut manifester pour faire respecter ses droits on appelle ça “militantisme” ; quand on veut faire connaître un film on appelle ça “annonce” ; et quand on veut faire connaître une religion on appelle ça “prosélytisme”.
Je trouve cette phrase absolument fascinante ! Si je la comprends bien elle veut dire : « Je crois en Dieu mais je ne vais pas à l’Église et, quand j’ai peur ou que j’ai un coup de blues, je prie pour me rassurer. »
Cette question est prononcée ou pensée quand arrive un événement particulièrement déplaisant ; si déplaisant que « le bon dieu » revient sur le devant de la scène, alors qu’il en avait disparu depuis belle lurette.
Il y a quelques années, un institut américain situait la France dans le top 10 des pays les moins religieux du monde alors qu’un sondage révélait que 41% des français avouent être superstitieux. Ces deux résultats sont-ils contradictoires ou bien sont-ils symptomatiques d’un dédoublement de personnalité de nos compatriotes ?